Parlons peu, parlons bien.

Bonsoir, bonsoir.

Alors, je ne sais pas vraiment par où commencer. Soit, j'ai 20 ans.

Je vais débuter par une présentation qui se doit d'être compréhensible et respectable. Il faut savoir tout d'abord que je voue un culte impérissable à la littérature et la philosophie. Ces deux arts sont à mon avis les clés de la réussite. La philosophie parvient aux hommes à une pensée large, diversifiée, une ouverture d'esprit et pas des moindres qui force l'admiration et ce depuis des lustres. Remercions "Thalès" ou bien "Socrate" pour cet art tout simplement mirifique. À une époque nombreux et nombreuses décrétaient "Socrate" comme le père de la philosophie, d'autres disaient que "Thalès" en était le véritable fondateur, rien n'était véritablement sûr même à l'heure d'aujourd'hui. Il est certain cependant qu'ils faisaient tout deux parties des sages de l'ancienne époque, et encore que ces sages ne savaient aucunement qu'ils l'étaient.

Le sujet qui m'a propulsé à une addiction permanente de cet art incoercible n'est autre que le fameux manga connu de tous, ou presque. "Death Note".

En effet, c'est une Saga du nom de "Death Note" qui nous révèle de nombreuses questions existentielles sur la vie et la mort. Ce qui est d'autant plus abasourdissant est que le réalisateur lui-même n'a jamais voulu inculquer une certaine profondeur philosophique. Cela a été fait à son insu au cours de la création de cette dite Saga.

C'est un jeune garçon du nom de Light Yagami, âgé de 17 ans. Pendant ses heures de cours, il penche la tête par la fenêtre, il voit par pur hasard un cahier tomber de nulle part. Jeune homme assez curieux de nature, il opte pour aller s'accaparer de ce cahier si étrange, une fois à la main, il voit écrit "Death Note" - littéralement, cahier de la mort. Il hésite donc pendant un laps de temps très court de prendre ce dernier. Toutefois, il préfère le garder en sa possession par pure curiosité, marchant en direction de sa résidence, il lit les instructions inscrites sur le dos du dit cahier. "How to use it" : La personne dont le nom est écrit dans ce cahier meurt.

Cet homme s'arrogera le droit de tuer ses semblables. En outre, ceux qui n'ont pas lieu d'être, les criminels. De son point de vue. Et tout ceci pour un monde utopiste qu'il aura lui-même jugé bienveillant, va sans dire qu'il dispose d'une personnalité assez égocentrique.

Aussi, je n'ai pas mentionné le fait qu'il y aura un enquêteur d'une intellectualité respectable qui enquêtera sur ce soi-disant "bienfaiteur".

Il trouvera l'affaire assez sibylline. Une histoire rocambolesque, qui ne cesse de faire poser des tas de questions :

Quelle est la véritable justice ? En tant qu'humain, est-il possible de penser que l'on dispose de pouvoirs sur la vie lambda ?

l’irrationnel ou le rationnel ? l'à-propos ou l'in-à-propos ?

Bien que ces questions posent pour certains de gros dilemmes et pour d'autres dotés d'une imagination débordante des hypothèses (voire spéculations) intéressantes.

Ceci étant dit, parlons littérature. Nous savons notamment qu'elle est appréciable et fortement coruscante. Elle ne m'attire pas plus que la philosophie, mais prend exagérément une place inconsidérée dans mon cœur. Vu que ces deux arts vont de paires, cela va sans dire.

J'ai plusieurs cordes à mon arc dont un panel de philosophes, de littérateurs à vous faire connaître. Bien que je pense qu'indénombrables connaisse déjà un rayon sur ces deux arts d'une quintessence troublante. Après tout, nous avons tous des centres d'intérêts assez différent, ce qui en somme nous rend continuellement actifs dans la vie de tous les jours. Et qui fait de nous des gens importants au fil du temps, parmi vous il y a sûrement des personnes ayant atteint un niveau élevé dans un domaine de grande préférence, cela s'entend. Personnellement, je m'exerce chaque jour à l'écrit, elle est pour moi d'une importance primordiale. Il y a des jours où ce n'est pas le cas par manque de temps dû aux boulots (quand je travaillais), au pluriel, oui. Pour l'instant, je stagne assez étant donné qu'il est laborieux d'obtenir (même après moult recherches) des boulots et des patrons qui ne prennent qu'en CDI. D'autant plus qu'ils sont assez ennuyeux avec les nouveaux.

Pour finir, merci à vous de m'avoir lu. Si vous m'avez lu, bien sûr.

À la revoyure !

Allez avoue, t'es un double-compte de Glorfindel ou de l'Un Seul toi !

Bienvenue philosophe, je sens que ça va devenir houleux dans les threads de débats.

Qui est donc ce fameux Glorfindel ?

Internet m'indique qu'il s'agit d'un personnage à la chevelure dorée. Quoique, je ne pense pas être blond, ma foi. Les débats peuvent ne pas être houleux suffit de consentir à converser dans la bienveillance. Enfin je dis cela, mais les débats de part ma propre expérience "forumiesque" ont toujours été houleux étant que les avis divergent qu'importe les sujets, cela va de soi. Soyons bien heureux !

Qu'en serait-il sinon du véritable sens du mot "Débat" sans la critique ?

HellCome l'ami.

Quel est ton personnage préféré dans Bleach?

J'idolâtre le personnage qu'est Urahara. Tout simplement parce qu'il est luminescent à souhait, qu'il arbore tout autant un charisme perfide et vicieux qui crée cette envie de connaître profondément le personnage, je trouve. De plus, il est intensément puissant, à savoir qu'il faisait partie à l'époque du "Gotei 13".

Je me contenterais, en plus d'un grand Bienvenue à toi, que de la simple devise de la Palombie :

"Parlons peu, Palombien".

(Au passage, je n'ai pas aimé le film Marsupilami).

Fais-tu référence (indirectement) au cher et tendre "Onizuka" ?

Bienvenue à toi, je me disais bien que Lobo ferait le rapprochement.

Je déteste ton style (d'écriture) et ce qu'il représente pour moi, pour être tout à fait honnête, mais je sens que tu vas être un rhéteur sévère, alors j'attends ça :)

Bienvenue à toi !

Un rhéteur sévère ? voyez-vous cela. N'avez vous pas une légère propension à l'exagération ?

Merci encore pour cet accueil !

J'interviens de suite, Georgios et Glorfindel je vous somme d'arhéter de suite !

Citation :

N'avez vous pas une légère propension à l'exagération ?

The irony is strong in this one.

Oui maître Lobo, tu as raison, on commence à sortir du sujet. Ca sera tout pour moi, encore bienvenue.

Cla$h !

Ah qu'ils aiment les embrouilles intempestives.

Quelle grâce Lobo, de par ton courroux, il me contraint d'arrêter tout de suite.