originalbankai Shinigami
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Age : 39 Localisation : Boston Date d'inscription : 18/02/2008
| Sujet: Et si on parlait écriture Mar 8 Nov 2011 - 10:49 | |
| Bien loin des bandes dessinés , manga ou autre. Je voulais vous faire partager mes écris. Je me suis remis à l'écriture la semaine dernière et j'ai déjà pondu deux histoires. Bien sure ce ne sont pas les romans de l'année mais je suis assez fier de moi tout de même! Le premier: L'amante de Vière (30min de lecture je pense) Synopsis:L'histoire d'un français qui rencontre une fille de l'europe de l'est Elle s'était échappé pour X raison Ils vivent une histoire d'amour puis paff le drâme rencontre avec la mafia et tout le tralala et pour le reste ben il faut lire La fin est très surprennante vous verrez! Le texte: Désolez il est beaucoup trop long pour que je l'affice ici :!damn!: Voici le liens C'est iciLa second: Au commencement (10 min) Synopsis:C'est le réveil d'une personne dans un lieu étrange qui nomme "L'enfer" il n'a plus de souvenir de la veille à la fin il réalise que ...... Le texte:- Spoiler:
C’était un grand flash d’un blanc d’une pureté incomparable. Plus les secondes s’écoulèrent, plus cette lumière opaque tendait à se dissiper. Des prismes de couleurs se découvraient face à moi d’une manière très disparate. Un ton sourd alambiqué me parvenait jusqu’aux oreilles. Je ne comprenais absolument pas ou je me trouvais. M’avait-on drogué? Avais-je trop but la veille ? Mes souvenirs n’étaient plus, c’est comme si avant ce jour, il n’y avait rien.
C’est étrange ma mémoire était obstruée, je n’arrive pas à me concentrer. Je percevais des formes et des halos bien plus qu’étranges. Je ne sentais plus mes membres. Tout mes sens étaient flous.
Voilà ce qui en retournait de ma première analyse. Maintenant voici les faits !
Je me trouvais dans une grande pièce tout de blanc vêtu également. Des scalpels, des pinces de toutes formes, des stéthoscopes, des sérines, des baromètres, de multiples éprouvettes. Autant d’instruments de mort et de tortures que l’on aurait pu trouver dans le laboratoire de Franck Einstein. Je pense vraiment que je suis sous l’emprise d’une expérience biologique : militaire, extraterrestre, je ne sais pas vraiment. La première réaction que j’ai eue quand j’ai retrouvé mes esprits à été de pousser d’énorme cri ; comme si j’étais désorienté et que je portais le fardeau du monde sur mes épaules. Quelle sensation désagréable. De plus mes respirations étaient devenus incontrôlés, les palpitations de mon cœur battaient terriblement fort, des brulures dans ma gorge, dans ma rate, ma trachée et même dans mes poumons se faisaient sentir. Est-ce ça ? Est-ce ça quand les gens disent « Bienvenue en Enfer » si ce n’était pas le cas, ceci y ressemblait fortement. Puis il y avait cette odeur, une odeur de cendre.
Mon monde commençait à devenir plus clair, la vérité s’éleva devant moi. J’ai vu des formes avec l’apparence biscornus, leurs visages étaient indescriptibles, impossible de distinguer ce qui nous est commun du type : yeux, bouche, nez, etc…. En faite le mot visage n’existait pas quand je regardais ces non-humains, leurs visages étaient déformés ressemblant à une spirale, c’était tout simplement une horreur et pourtant ces créatures étaient devant mes yeux, c’étaient donc bien « RÉEL ». Ces êtres étaient d’un long, immenses de la taille des plus grands gratte-ciels de « mon monde », pire que des géants d’une longueur sans fin. Je pouvais comparer aisément leurs membres des tentacules de pieuvre, des doigts en guise de ventouse. Et celles-ci d’ailleurs avaient fini par m’empoigner, m’arrachant de ma table d’opération. M’emportant dans les cieux, j’avais la tête en bas, je voyais déjà l’enfer et maintenant il fallut que je le vois à l’envers. Un cauchemar vivant qui venait tout juste de débuter. Qu’allais-je rencontrer, des flammes, de la tortures, des atroces souffrances à répétions sans doute. Il me semble que c’est inévitable dans ce monde. Il est dit que l’enfer n’est que désolation, et horreur à répétition, que l’espoir avait déserté les yeux, que ces résidents étaient tous des pécheurs voué à errer avec l’unique but de se libérer de chaines afin de retrouver la plénitude, la sérénité et le bonheur. Voilà ce que c’est l’enfer, un monde ou personne ne veut finir,(moi non plus d’ailleurs) et pourtant j’y étais du moins là ou je me trouvais l’était surement. Je vais devoir traverser d’immense épreuve si je veux retrouver « mon monde ». Ma réflexion sur l’endroit j’ai été subitement transporté à brusquement disparut lorsque que je reçus mes premiers signes de châtiments. Un coup violant m’a été donné dans le dos, (si c’était comme un système de bizutage pour annoncer que la suite allait devenir beaucoup plus pénible, alors je pris sur moi serra les dents, et ne montra aucun signe de souffrance.) Il fallait bien que je leurs montre que je n’étais pas du genre à capituler dès la première secousse. Voilà le ton était donné.
Un second coup me fut porter, (voulaient-il me faire payer ma propre souffrance? Quelle mesquinerie ! Non l’enfer ne m’aura pas - il faudra me tuer mille fois pour que je capitule – j’ai toujours été de nature forte, je me relèverai envers et contre tout). Voilà j’entre dans le cercle des martyrs à mon insu. On me força à marcher, comme une vulgaire marionnette, mes jambes étaient encore toutes endolories (comme le reste de mon corps d’ailleurs), mes muscles flasques, je montrais déjà des signes de faible. Je commençais à devenir un être pathétique. Ma tête reposera sur un piquet en guise de trophée, je passe de tentacule à tentacule, ses visages froissés me contemplent, ricanent à mon propos. Qu’il est divertissant de s’amuser avec des fourmis! Je suis balloté comme un vieux chiffon.
Durant ces quelques minutes (qui m’ont parût interminable), la dernière « personne » qui me tenait, pouvait être qualifié de « femelle ». Apparemment j’étais son acquisition, elle m’agrippait avec ferveur. Après un temps indéterminé, le chef des monstres me récupéras et m’emmener loin du groupe. Qu’allait-il fait, l’inquiétude me gagna plus que jamais, je poussais d’énorme cri de peur mais personne n’est venu me sauvé (désespoir). Nous avons empreinté un très long couloir, encore plus immense que la pièce que je venais de quitté. L’endroit ou j’étais n’avait donc pas de limite, et les mots « éternité » et « profondeur » me venaient à l’esprit. Le chef dévorait la distance avec une vitesse faramineuse. Je n’allais pas tarder à côté le vrai enfer. Nous sommes arrêtés devant une grande porte battante sans indication particulière. Il l’ouvra lentement par pure sadisme. Une fois la porte ouverte. Je découvrais un nombre incalculable « d’être » comme moi. J’allais être logé à la même ancienne d’eux. Depuis combien de temps, étaient-ils là, quel enfer. Ils étaient tous comme moi, les membres dépourvues de toute mobilité, les cris de douleurs stridents de tous ces damnés rationnaires sans c’est pièce ou régnait chaos et désordre. Voilà là vue que j’avais devant les yeux. Le chef repris sa marche funeste et appela un sous-fifre dans un dialecte complètement incompréhensible. Celui-ci me prit sans me ménager, me parqua dans un enclos dont il n’y avait aucune échappatoire possible (mes congénères étaient aussi dans le même type d’enclos que moi). Voilà je n’allais pas tarder à connaitre ma sentence. Le sous-fifre étiqueta la cage ou je me trouvais pour mieux me retrouver. Je déteste ces scientifiques, ils me prennent pour un échantillon à me mettre dans une éprouvette.
Sur l’étiquette il était écrit : Quentin - 2kg400 - 46cm
Voilà aujourd’hui je suis née !
Un troisième roman est en cour d'écriture (je prend une pause pour poster ici déjà) Voici l'adresse de mon blog: http://lyricredaska.over-blog.com/
Laissez-moi vos impressions S.V.P Il y a d'autres écris également que vous pourrez lire si vous le désirez. PS: Si vous aussi vous vous sentez l'âme d'un écrivain , n'hésitez pas à nous en faire profitez
Dernière édition par originalbankai le Mer 9 Nov 2011 - 19:47, édité 2 fois | |
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Telperion *Modo*
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Age : 34 Localisation : Surement à la bibliothèque Date d'inscription : 01/01/2009
| Sujet: Re: Et si on parlait écriture Mer 9 Nov 2011 - 17:21 | |
| Je me suis permis de déplacer ton sujet ici, car la section "créations" regroupe déjà toutes les productions artistiques des membres.
Le titre de ton topic n'est plus très approprié du coup. Je t'invite à le modifier si tu le souhaites. Si jamais c'est une opération que tu ne peux pas effectuer, contacte-moi par MP en m'indiquant ton nouveau titre et je m'en occuperai. _________________ "Quand le Sage cherche la Vérité, l'imbécile l'a déjà trouvée."
L'idéologie démocratique de liberté semble jouer en face de la réalité des liens sociaux qui y correspond le même rôle que l'illusion morale du libre-arbitre joue en face du fait, établi par la psychologie, de l'inéluctable détermination causale de tout vouloir humain. Hans Kelsen, "La démocratie : sa nature, sa valeur".
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