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 Divagations Graphiques et Fanfics

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3 participants
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Mvrk.G
Mouchard
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Féminin Nombre de messages : 11

Age : 31
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MessageSujet: Divagations Graphiques et Fanfics   Divagations Graphiques et Fanfics Icon_minitimeVen 1 Aoû 2008 - 19:11

Youhou, quand faut y aller, faut y aller. Je me lance donc d'abord avec mes petites "divagations tardives sur la tablette graphique". Je vous mets la recette pour préparer mes délicieux bâtonnets de Suribleach.

Petite recette
Spoiler:

Persos choisis au hasard
Spoiler:

Persos aussi choisis au hasard =D (mais oui, la proximité du poivrot et de son cher tuberculeux est le total fruit du hasard)
Spoiler:

Non, ne me lapidez paaas ><

Accessoirement, je bosse aussi sur des persos de Bleach qui auraient atterris dans Fire Emblem (pour ceux qui connaissent). Donc grâce à la magie du bidouillage de sprites, j'ai obtenu de jolis persos. Mais je n'ai qu'Hisagi sous la main.
Spoiler:

La prochaine fois j'aurais un Grimmjow sans masque de Hollow T_T Bref. Si vous ne me lapidez pas à coups de superbes fanarts et de gros pavés, je vous posterais d'autres bâtonnets de Suribleach. Et si vous êtes gentils, je mettrais peut être une fic quand je l'aurais terminée.

Bon, peu importe, toutes les remarques sont acceptées.
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Hinalulla
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Hinalulla


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Age : 37
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MessageSujet: Re: Divagations Graphiques et Fanfics   Divagations Graphiques et Fanfics Icon_minitimeMar 5 Aoû 2008 - 11:46

Bon ya encore du boulot à faire mais faut bien un début à tout non??
Et puis je te rassure j'ai vu pire.. Divagations Graphiques et Fanfics Nnngifco
Perso je préfère les dessins fan art pur et dur donc bon.. :oups:!
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Locki
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Masculin Nombre de messages : 19

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MessageSujet: Re: Divagations Graphiques et Fanfics   Divagations Graphiques et Fanfics Icon_minitimeMar 5 Aoû 2008 - 15:29

Moi je trouve ca très marrant, tu as en plus le don pour trouver l'attrait caricaturale rapidement. Sur tes bâtonnets (lol) on reconnait très bien les capitaines qu'ils représentent.

Bravo à toi, attaque toi à plus dur... ^^
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Hinalulla
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Féminin Nombre de messages : 723

Age : 37
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MessageSujet: Re: Divagations Graphiques et Fanfics   Divagations Graphiques et Fanfics Icon_minitimeMar 5 Aoû 2008 - 15:37

Ca par contre c'est clair qu'on trouve rapidement quel batonnet représente quel capitaine.
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Mvrk.G
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Féminin Nombre de messages : 11

Age : 31
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MessageSujet: Re: Divagations Graphiques et Fanfics   Divagations Graphiques et Fanfics Icon_minitimeJeu 7 Aoû 2008 - 17:57

Bon, cette fois ci j'ai encore quelques bâtonnets, mais c'est pas tout ^^

Oui oui, la parabole, c'est bien Nnoitra =D
Spoiler:

Spoiler:

Spoiler:

Donc, ça c'est fait. Ca fait pas très longtemps que j'ai ma tablette graphique donc j'ai encore du mal à dessiner avec. Donc en attendant mieux, voilà un dessin dont je suis pas très satisfaite (j'ai eu la flemme de le mettre en couleurs). Ce n'est pas vraiment un fanart mais un dessin d'un shinigami que j'ai inventé pour les besoins de ma fic.

Spoiler:

J'ai vraiment pas l'habitude de dessiner sur une tablette (en plus je ne dessine pas super souvent...), ça donne un rendu bizarre >< en plus j'ai juste The Gimp, c'est pas terrible...


Accessoirement, j'écris aussi (quelle prétention, "j'écris") =D mais là encore, je poste le "prototype" de la première partie d'un texte dont je ne suis pas très contente. C'est assez éloigné de ce que j'écris d'habitude. De plus j'ai un peu perdu l'habitude d'écrire des fics. En tout cas je n'en suis pas du tout satisfaite, notamment la fin que j'ai rédigé précipitamment. Mais bon, si je poste ça ici c'est aussi pour avoir des avis et des conseils ^^"

(Bon, Disclaimer, Bleach pas à moi, aucun profit, tousa tousa. Et puis bon, Fandom : Bleach. Persos... euh, Original Character pour l'instant.)
Citation :
« Vous qui refusez de vous plier à la volonté divine, soyez condamnés à ne jamais connaître la douceur du sommeil, car votre âme est aussi hideuse que les démons qui la hantent. »

Kinshige Hirokazu fut réveillé par la chaleur cuisante du soleil. Il ouvrit lentement les yeux pour s’accoutumer à la vive lumière de l’astre, puis se redressa avec un grognement de mécontentement. La matinée était déjà fort avancée, et l’homme s’était éveillé tard. Il se leva, saisit son sac rapiécé qui contenait ses quelques possessions et s’en alla à travers le bois.
L’allure de Kinshige forçait le respect. Il suscitait aussi la crainte chez les tout jeunes enfants du Rukongai, et cela était sans compter sa sinistre réputation de fou. L’homme était brun, et quoiqu’il fut encore jeune, ses traits avaient quelque chose de profondément sombre, de ceux qui avaient vécu beaucoup de choses rudes et morbides. Si son apparence semblait ordinaire et misérable, ses yeux vairons si particuliers dénotaient quelque chose de trouble en lui.
Hirokazu marcha longuement. Ses pérégrinations finirent par le mener dans le soixante-huitième district, au nord du Rukongai. L’endroit était réputé pour fourmiller de fous et de marginaux. Mais les habitants du quartier ne se plaignaient pas de violence. Au contraire, ce sont eux qui organisaient les combats pour se distraire. Dès son arrivée dans la rue principale, Kinshige fut accosté par une dizaine d’âmes aux intentions douteuses. Drogues, femmes, participation à des combats clandestins… on lui avait proposé toutes sortes de choses. Mais par-dessus tous les besoins superficiels qu’il pouvait ressentir, Hirokazu pouvait sentir ses entrailles se tordre de faim.

Il n’était cependant pas fou au point de l’avouer à cette troupe d’individus, et déclara simplement avoir besoin d’un endroit où passer la nuit.

-C’est toi, le cinglé dont tout le monde parle, non ? Avait alors lancé un homme, probablement ivre, dans l’assemblée.
-Et si c’était le cas ? Rétorqua froidement Hirokazu.
L’homme haussa les épaules.
-Eh bien, il y a cette bande, ceux qui viennent de Kusajichi… ils ont dit qu’ils égorgeraient tous ceux qui prendraient sous leur toit un homme aux yeux dépareillés…
Le fou tressaillit. La mention du soixante-dix-neuvième le faisait toujours frissonner. Il avait fui cet endroit, et voilà maintenant qu’il se faisait rattraper.
-Moi, je connais des gens aussi cinglés que toi, intervint un autre homme bien plus jeune que la plupart des pouilleux qui tournaient autour d’Hirokazu. Ils peuvent t’héberger, si c’est vraiment ce que tu veux.
Kinshige le toisa. Il était brun, avait un air profondément insolent et des traits fins, plus qu’aucun des hommes qui se trouvaient là.
-Je les connais bien… je peux t’y emmener.
Méfiant, Hirokazu accepta néanmoins l’offre et suivit l’inconnu. Il fut conduit jusqu’à un taudis devant lequel fumaient plusieurs autres jeunes du Rukongai. Le brun se tourna vers Hirokazu.
-Cette maison est la mienne, et eux, ce sont mes amis. Nous vivons ici ensemble. Si tu veux vivre ici, alors je t’accepte.
-Quelle garantie puis-je avoir ? Cracha Hirokazu. Tu es un parfait inconnu, je ne connais pas ton nom, et tu ne connais pas le mien.
L’homme haussa les épaules.
-Je m’appelle Nakamura Daisuke, et toi, tu es Kinshige Hirokazu, le fou du soixante-dix-huitième. Tout le monde sait ça. Et si tu te méfies tant que ça, tu n’as qu’à dormir ici ce soir et repartir demain.
-Ouais… bon, je vais rester cette nuit, et je te dirais demain ce que je fais.
Daisuke sourit à cette nouvelle et le fit entrer dans le sordide galetas. L’endroit était peu éclairé, sentait le tabac froid et était peuplé de jeunes âmes tombées trop tôt dans les fumées d’opium du district. A cet instant, Hirokazu fut pris d’un sentiment singulier. L’impression que la folie se matérialisait, telle une fumée qui englobe tout et s’insinue de force dans le corps, par tous les pores de la peau.
L’hôte mena Hirokazu jusqu’à un coin isolé de la cabane délabrée. Il fit un petit geste théâtral ridicule vers une couche à même le sol.
-Voici votre chambrée, monseigneur, lança-t-il ironiquement. Nous vous appellerons lorsque le banquet sera servi.
Puis il s’éloigna avec un petit rire méprisant. Hirokazu s’assit, soupirant. Une allumette crissa contre son grattoir, suivi du son caractéristique d’un feu naissant. Le fou fut bien vite apaisé par les émanations écoeurantes de sa cigarette. Il ne craignait plus les maladies dont étaient affectés les humains, mais n‘était pas à l‘abris des fléaux qui s‘abattaient sur les âmes.

Si le gîte était misérable, Hirokazu constata vite qu’on y mangeait bien. Lorsque Daisuke revint le chercher en lui annonçant que le dîner était servi, il découvrit non sans surprise une relative abondance de nourriture sur la table où mangeaient déjà ses colocataires.
-Ne t’imagines pas que c’est comme ça tous les jours, lança un des hommes autour de la table en remarquant l‘air surpris de l‘invité.
-Nous vivons de larcins, comme beaucoup dans le Rukongai, et nous mettons tout en commun. Mais parfois, les raids sont infructueux, alors nous devons nous contenter de quelques restes, et parfois de rien.
Daisuke se laissa tomber sur le dossier de sa chaise.
-Mais de toutes façons, personne n’a faim, ici… à part quelques uns, ajouta-t-il avec un regard à l‘adresse d‘Hirokazu.
Ce dernier se sentit mal à l’aise, comme percé à jour. Il ne voulait pas que la rumeur de sa faim se répande à travers tout le district.
-Allez, t’en fais pas, sourit Daisuke. T’es pas le seul ici. On sait ce qui arrive aux gens qui on ça, ici, on te laissera pas tomber.
Nakamura présenta rapidement à son invité les gens présents autour de la table. La plupart étaient des drogués, hommes à femmes, alcooliques, criminels et autres rebuts de la société, autant d’hommes et de femmes tombés dans le gouffre macabre de la dépravation.
Si Kinshige passa une bonne soirée, il n’en fut pas de même la nuit. Secoué par des cauchemars traumatisants et des démons intérieurs récalcitrants, Hirokazu ne put dormir cette nuit là. Certes, il en avait l’habitude, mais il trouva extrêmement désagréable le fait de ne pouvoir fermer l’œil alors qu’il avait pour une fois un endroit où dormir.
Ainsi, ce fut de mauvaise humeur qu’il se leva le lendemain, accablé de fatigue et imprégné de l’odeur de la cigarette. Nakamura vint le voir.
-Alors, tu as pris ta décision ? Est-ce que tu restes ?
Hirokazu n’en avait pas la moindre envie, mais il ne pouvait se permettre de laisser passer sa seule chance de ne plus avoir faim. Il avait longuement considéré la proposition, et dut se rendre à l’évidence : personne d’autre ne lui ferait une telle offre.
-J’accepte, dit-il.
Daisuke ricana.
-C’est toujours ainsi que ça se passe, expliqua-t-il. D’abord, vous vous méfiez, ensuite, vous voyez la nourriture, et vous restez le lendemain.
Hirokazu se leva, ignorant les paroles sarcastiques de l’autre, puis se dirigea vers la porte pour prendre l’air. Mais l’amphitryon le suivit et lui imposa des conditions pour vivre sous son toit. Le nouvel arrivant devrait partager tout ce qu’il obtiendrait, travailler pour Daisuke et n’apporter aucun problème aux autres occupants du taudis.
-Donc, précisa-t-il, si jamais ces mecs du soixante-dix-huitième reviennent et découvrent qu’on t’héberge… tu seras seul responsable, pigé ?
-Ouais, je sais.
-Parfait. Alors bienvenue chez moi !
Hirokazu prit le temps de s’installer, et on lui fit visiter le district. Son guide était un dénommé Kagome. Sur le chemin, ce dernier interrogea Kinshige à propos de la raison de sa présence dans le district.
-Je suis fou, et j’ai fui mon ancien district pour échapper aux combats.
-De quel genre de folie est tu atteint ?
-Je ne suis pas tout seul. Là, je veux dire… répondit Hirokazu en désignant sa tête.
Kagome le regarda d’un air méfiant.
-Ah, dit-il.
Il laissa un silence s’installer.
-J’ai l’impression qu’il a toujours été là…
-En tout cas, reprit Kagome, si tu voulais échapper aux combats, je crois que c’est raté. Tu m’as l’air d’être un gros morceau, du soixante-dix-huitième, en plus, alors Daisuke va vite t’envoyer dans les arènes pour gagner du pognon.
Hirokazu haussa les épaules, insensible. Il avait l’habitude de se battre, pensa-t-il, et ce n’était pas des amateurs qui allaient le mettre à terre. Cependant, les paroles de Kagome se confirmèrent bien vite. Daisuke décida quelques jours après son arrivée de plonger son nouvel hercule dans le réseau de combats clandestins. Comme il s’y attendait, Hirokazu fut confronté à de stupides brutes qui n’avaient aucune technique. Il comprit rapidement que son « bienfaiteur » ne gardait sous son toit que ceux qui lui rapportaient quelque bénéfice. Ces combats rapportaient à Hirokazu de nombreuses blessures dont il conservait encore les traces.
Lorsqu’il n’était pas dans les ruelles à se battre contre des montagnes de muscles, Hirokazu dépouillait les stands lors des jours de marché. Il s’était fait attraper à plusieurs reprises, et dans ces instants là, alors qu’une pluie de coups s’abattait sur lui, il regrettait d’avoir accepté la main tendue de Daisuke. Mais chaque fois qu‘il s‘en sortait, il revenait avec un plus gros butin que les autres. Cela lui attira le respect de ses camarades, et la rancœur de Nakamura.
La haine de Daisuke s’intensifiait à mesure que grandissait l’estime qu’avaient les autres pouilleux pour Hirokazu. L’autoproclamé chef craignait qu’Hirokazu ne lui prenne sa place. L’occasion de chasser le Fou se présenta alors avec un évènement que tous redoutaient.

Compter les jours n’était pas le principal souci de Kinshige. Aussi, il savait qu’il vivait maintenant depuis longtemps chez Daisuke, mais il ignorait depuis quand exactement. Ce fut au bout de quelques années, probablement trois, qu’une bande de truands vint spolier les habitants du soixante-huitième quartier. Ils arrivèrent tous armés, l’air menaçant et rouant de coups tout ce qui osait se dresser sur leur chemin tracé de sang. Leur chef était une force de la nature, une espèce de béotien, qui ne pouvait s’exprimer sans brailler et qui prenait tout ce qu’il désirait par le biais d’une violence sans borne. Il était formidablement grand et large d’épaule, et ressemblait plus à une sorte de démon qu’à un homme.
Ce géant porta son regard vers Hirokazu. Il se trouvait qu’il était celui là même qui, quelques années auparavant, était venu dans ce district pour menacer de mort quiconque prendrait sous sa protection un homme aux yeux vairons. L’homme dont-il parlait n’était autre que Kinshige, qui reconnut immédiatement son persécuteur.
Le colosse, sans dire mot, se rua sur Hirokazu. Il semblait nourrir pour lui une haine sans borne. Il faisait tournoyer au dessus de sa tête hideuse une sorte de masse. Hirokazu évita facilement les premiers assauts. Mais il ne comptait pas se laisser faire. Kagome, qui observait le combat de loin avec le reste de son groupe, lança un sabre à Hirokazu.
-Tu vas payer pour m’avoir arraché un œil, bâtard ! Beugla le géant. Je vais te déchiqueter en lambeaux !
Et avec un mugissement d’une sauvagerie rare, il se jeta sur sa proie. Hirokazu l’empala. Mais le chef de bande se redressa et abattit son poing sur son ennemi. Kinshige croula sous la force démentielle du titan. Il reçut un déluge de coups de poing et de masse, puis réussit à rouler sur le côté alors que son bourreau s’essoufflait.
Dans un effort désespéré, Hirokazu se dressa face au monstre, leva son sabre et l’abaissa de toutes ses forces, fendant le crâne du géant dans une gerbe de sang. Décontenancés, les sbires du gigantesque truand fuirent, poursuivis par leurs victimes galvanisées par la mort du géant.
Ensanglanté et chancelant, Hirokazu vint en titubant à la rencontre de Daisuke. Ce dernier ayant trouvé un parfait prétexte pour le jeter hors de sa demeure, ne lui laissa pas le temps d’ouvrir la bouche.
-Je t’avais dit que si tu nous causais des problèmes, tu ne serais plus le bienvenu chez nous, cracha-t-il. Ce mec à failli tous nous buter à cause de toi.
-Hirokazu l’a quand même tué, fit remarquer Kagome. Il nous a protégé…
-Si on le garde plus longtemps avec nous, d’autres mecs vont venir essayer de le tuer. Les types qui viennent des quartiers chauds n’apportent que des emmerdes. Alors maintenant, fous le camp, Kinshige. Je sais très bien que tu es le cinglé que tout le monde appelait le Pourfendeur, au soixante-dix-huitième.
Daisuke semblait penser qu’Hirokazu s’en irait sans broncher. Cependant, un changement s’était opéré durant le combat qu’il avait mené. Dans son état normal, Kinshige aurait récupéré ses affaires sans un mot et serait parti en laissant derrière lui Daisuke et ses sarcasmes. Mais il se trouvait qu’au lieu d’être calme et réfléchi, Hirokazu était brusquement devenu impulsif et cruel. Plusieurs fois au cours des années précédentes, il avait montré ce genre de comportement, mais jamais Daisuke n’avait mis ça sur le compte de la folie. Il avait toujours pensé qu’Hirokazu cachait sa vraie nature et réfrénait ses pulsions.
Ce fut donc sur un de ces élans d’emportement qu’Hirokazu brandit son sabre vers Nakamura et le menaça à son tour de mort.
-Tu ne veux plus de moi ? Très bien, je ne reste pas plus longtemps. Mais si jamais j’entend parler de toi, si jamais je vois encore ta pitoyable carcasse sur mon chemin, je viendrais t’éventrer et ta charogne nourrira les rapaces, siffla-t-il.
Sans un mot de plus, le Fou reprit ses errances passées.
Au bout de quelques jours, cependant, Hirokazu réalisa son erreur. Ce fut tordu de faim et de douleur, au milieu d’un groupe d’enfants qui se riait de lui et lui lançait des pierres, qu’Hirokazu décida de passer l’examen d’entrée à l’Académie des Sciences Spirituelles. Là bas, il ne connaîtrait plus la faim et le rejet.

C’est encore ce qu’il pensait à l’époque.

Hop là. J'updaterais... quand j'aurais la suite.
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Hinalulla
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MessageSujet: Re: Divagations Graphiques et Fanfics   Divagations Graphiques et Fanfics Icon_minitimeJeu 7 Aoû 2008 - 23:55

Bon j'avoue pour ton écrit à l'heure qu'il est j'ai du mal à me pencher dessus mais quand je serais motivée je viendrais jetter un oeil.
Sinon je commence à m'habituer à tes batonnets et ca commence à me faire sourire (très bon signe ca... hihi ) et quand à ton dessin bon ya quelque defaut mais franchement ca va c'est gérable, surtout si c'est sorti de ton imagination (perso je fais que du fanfic et bon....)
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